Description de l'événement
Venez rencontrer l'auteure, journaliste et réalisatrice Dorothée-Myriam Kellou à l'occasion du lancement de son livre Nancy-Kabylie - pour lequel elle a reçu le Prix littéraire de la Grande mosquée de Paris - meilleur essai 2024.
À propos de Dorothée-Myriam Kellou
Dorothée Myriam Kellou est auteure, journaliste et réalisatrice. En 2016, elle révèle dans Le Monde l’affaire des financements indirects de l'État islamique par Lafarge pendant la guerre en Syrie, et a reçu le prix Trace de l'investigation journalistique à Washington D. C. en 2017. Elle collabore régulièrement avec le Monde, France 24, Arte, France télévisions et France culture. Récipiendaire de la bourse d'excellence Fulbright, elle est diplômée du master d'études arabes de l'Université de Georgetown à Washington D.C et de l'Institut d'Études Politiques de Lyon.
Elle a reçu diverses reconnaissances pour ces œuvres dont cette année le prix Recanati-Kaplan, récompensant des projets culturels exceptionnels dans le monde arabe. Ce prix, créé par la Fondation Recanati-Kaplan et la Villa Albertine en partenariat avec l'Institut du monde arabe, comprend notamment une résidence de deux mois aux États-Unis.
À propos du livre Nancy-Kabylie
Dans ce livre, l’auteure qui a grandi à Nancy, part en quête de ses origines et de celles de ses parents. Elle découvre que son père et sa famille ont été contraints, dans les années 1960, de quitter leur village de Mansourah, en Algérie, sous le contrôle de l'armée française. Elle évoque son enfance, sa double culture et le poids du silence causé par la guerre, les déplacements de populations et les camps.
Horaire de la soirée
18h00: ouverture des portes
18h30 - 19h30: discussion littéraire suivie d'une séance de questions du public
19h30 - 20h00: séance de dédicace
Cet événement se tiendra en français.
Un léger goûter sera servi. Inscription gratuite, mais obligatoire.
Cet événement est présenté par le Centre for Comparative Muslim Studies, en collaboration avec le Bureau des affaires francophones et francophiles et le soutien du Département de français et du Département d’études urbaines de l’Université Simon Fraser.